Départ vers 8H30 le dimanche matin, pour une petite 15aine d’UB90 qui se répartiront dans le J9 du groupe, et une voiture. Tous motivés à profiter à fond de ce dép, et quel dép !!! En effet, par quoi commencer, il s’est passé tellement de chose en ces 3jours… !

Il est 9H15, toujours le dimanche matin, quand nous nous retrouvons sur la bande d’arrêt d’urgence, le J9 est en panne, nous sommes à Colmar ! On appel le trésorier pour qu’il vienne à notre rescousse, et Christian allias Bastien gère la crise à la borne 149 pour avoir une dépanneuse ! Après quelques délires, et photos souvenirs, une longue attente s’offre à nous à proximité du garage Renault. Il est midi passé quand Kenny arrive avec ce nouveau J9, quel changement. On le remercie et on trace car mine de rien on avait un ferry à prendre à 22H à Toulon.

Le trajet se passera dans une relative très bonne humeur, l’ambiance est chaude, voir très chaude à certains moments… On s’arrête à un Mc do dans le Sud peu de temps après les Ultras Parisiens qui ont laissé de nombreuses traces de leur passage.

Finalement après cette longue journée, on arrive à temps, on rejoint les occupants de l’autre voiture, et direction le pont du ferry…
Et à partir de ce moment, c’est la décadence totale, (pack, fut, crémant, absolut) tout y passera en un temps record ! Un cap’s sera également de la partie, qui se terminera par un KO au 2eme round du stock de bibines !
Les stocks sont vides, le ferry n’est toujours pas parti, il a 2h de retard… Ceci étant, nous étions pas trop en mesure de comprendre tout ce qu’il se passait à ce moment précis. Tout ce beau monde se donne Rdv dans la salle de cinéma qui est devenue payante, il nous faudra user de plusieurs ruses afin de rentrer dans cette salle mémorable. Après une entrée remarquée, au grand plaisir des occupants, Jeremy nous démontra tous ses talents, la rangée de sièges s’en souviendra longtemps, ainsi que la femme de ménage. Le temps passe et tout le monde s’endort petit à petit...

Lundi matin, il est 8h le temps de trouver un endroit ou se garer, on se pose dans un petit bar, pas loin de la mer, Greg et Anais nous rejoignent, on se ballade en ville, mais les organismes se fatiguent vite… Il est 11h passé, nous décidons de changer nos habitudes du week-end en allant boire un verre… On enchaîne avec resto, plage, volley, bar…

La journée est vite passée, direction le stade toujours aussi champêtre (en espérant qu’aucun Corse me lise, dieux sait ce qu’il pourrait nous arriver).
En effet, quel plaisir d’être toujours aussi bien accueillis, menaces, insultes, provocations des stadiers Corses sont aux rdv comme à chaques fois…

Bref, passons, nos joueurs ramèneront un bon match nul, nous aurions pu très bien s’imposer comme s’incliner. Trois joueurs viendront lancer leurs maillots, merci à eux. Nous quittons le stade assez tranquillement…

Nous déposons Greg, Anais, et Clouffi, et nous prenons la direction de Bastia. Le trajet se passera relativement bien, tout le monde s’endort ou continue à dormir en attendant le ferry.

Plus grand chose à signaler durant cette journée de Mardi, si ce n’est le temps exécrable. Nous arriverons au stade entre 23h et minuit selon les véhicules.

Plusieurs remerciements : Les chansons de Brecht, ultralala, les coquines du péage et tous les péages en général, la meuf du feu rouge, ding ding dong, à l’alcool, à la fille et la mature, aux jeunes qui se sont caressés tout au long du déplacement (à ce sujet y a du dossier !), à la ligne du terrain qui n’est pas droite, au chêne et au sapin, à la carte de France des Mc do, à la salle de cinéma, aux envies sexuelles de Brecht, au J9 qui a rendu lame à Colmar et non à Ajaccio, à Kenny et Neu pour la panne du dimanche matin, à Christian et Maud d’avoir rouler tout le trajet, et à tous les présents.
Pour le reste seul les présents savent !

Prochain déplacement à Metz, mobilisation générale attendue !