Fanzine

Kaos on the road : Auxerre

Retour au fanzine

Le remake du retour de la suite de Paysanville - Racing. Nous avions espoir que notre équipe continue le redressement qu’elle avait amorcer au Havre et contre Montpellier.

Affluence anormale devant notre Meinau si bandante pour un samedi midi, puisque 100 personnes attendent les cars (si si les cars) comme quoi deux victoires consécutives cela remotive. Aux 100 personnes présentes, on rajoutera quelques imprévus de dernière minute (Alf et Chris). 12h30, le convoi prend vie « en avance » comme d’habitude (NDC : il faudrait leur acheter une montre au CCS). Aussitôt les gosiers crient sécheresse (il est vrai que nous sommes en retard pour l’apéro). Mais ils seront vite rassasiés par quelques litres de bière, Pastis (curieusement mélangé avec de l’eau, on ne comprend toujours pas pourquoi d’ailleurs), Bailey’s, Picon et sûrement autre chose mais on se rappelle plus bien. Très vite les sacs poubelles se remplissent de divers déchets aussi bien solide que liquide.... On récupère trois « indigènes » en cours de route comme si le bus n’était déjà pas assez surchargé (NDC : salut à Nicolas H. et la Rinner family). De fil en aiguille, certains nous quittent, salut à toi le claviste (quel coma !!! (NDC : j’avais légèrement bu pourtant. Pas plus d’un litre de pastis.)), salut à toi Alf (pour un retour !!). D’autres ne cèdent que d’un œil (salut à vous Béné, Philippe, Matthieu C., Caro, Olivier et Virgile). Les autres tiendront le coup chapeau à eux (ils ont aussi moins tenu le goulot des bouteilles, ceci expliquant cela ...). Des substances que nous qualifierons d’euphorisantes circulent allègrement et on assistera à un événement puisque le Sperminator boira même de l’alcool chose on ne peut plus rarissime. Très vite (NDC : tout est relatif après quelques verres), nous nous rendons compte que le chauffeur ne pilotera jamais une formule 1. Sept heures pour faire 500 km, record à battre.

Arrivés au stade à temps (si si !!!), nous nous voyons refuser l’accès de nos drapeaux et étendards. Nos stewards entrent alors en jeu, mais pour le résultat obtenu, ils auraient pu rester dans le bus. Finalement, nous (et non les stewards, pourtant présent pour régler ce genre de problème) arrivons à faire rentrer sept drapeaux et 1 étendard. Que de dire de l’épisode de l’Abbé Deschamp ? que les flics sont toujours aussi cons, ça nous le savions à l’avance, mais à ce point !!! Ils nous causeront de légers problèmes pour le bâchage (en bas uniquement), car « la pub elle est là pour être vue ». (NDC : Bah oui malheureux ...). Ils nous mettent dans la tribune d’en haut (la plus moche et la plus mal foutue des deux), ce qui est également un facteur à la petite ambiance que nous avons mis. Ils interdisent l’accès à la tribune inférieure (même pour 30 secondes !!!) à notre cameraman (salut à toi, homme à la gueule de bois), afin qu’il ne puisse effectuer son devoir et nous offrir de belles images. Le bâchage s’effectuera de façon Mad Spirit, sans ficelle et sans scotch que nous avions oublier tous les deux (NDC : je ne comprends pas on avait seulement bu dans le bus, pas avant ?). Dans la tribune supérieure, la bâche domicile fut apposée magistralement (du plus bel effet !!).

L’ambiance n’aura pas été à la hauteur de nos espérances, malgré le dévouement de Nolive (NDC : avec le poivron au milieu ?) au méga. Que dire de plus ; si ce n’est que l’alsacien le plus haït d’Alsace (NDC : comprenez Guy Roux), nous a encore sortit son numéro d’intimidation auprès des référés, sans commentaires. Pour finir, je pense qu’il est utile et désagréable de souligner que les drapeaux et étendards sont là pour marquer notre présence et montrer notre amour pour nos couleurs, et non pour emmerder le monde comme certains pourraient le croire. Parenthèse fermée.

Retour au bus où les choses vont tourner à toutes les sauces. Les uns dorment, d’autres boivent, d’autres regardent le Sperminator accroché à la télé (cela évite de regarder bêtement la télé), d’autres gerbent toujours et encore (NDC : on fait ce que l’on peut), les autres (les plus sombres) philosophent sur le match. Le train train habituel quoi ! Le must du retour se passera sur une aire de repos, où la secte Boris (qui ne cesse de s’agrandir), nous procurera un sérieux stock de petits pots Blédina poulet-carottes (NDC : c’était à gerber, beurggggggg).

Pour finir deux dédicaces spéciales :

¤ Un big fuck à notre chauffeur de ........., qui trouvera le bouton du chauffage 1 km avant la Meinau (chapeau, en attendant ON SE LES GELE ! ! !)

¤ Et nos plus grandes salutations à ce jeune de 12 ans (frère d’un alcoolique anonyme de la confrérie UB90 (NDC : on l’appellera V.K. pour préserver son anonymat)), qui vu sont âge à tout pour devenir un futur asocial. Beaucoup disent qu’il marche sur es traces de son grand frère et tout ce que l’on peut lui souhaiter c’est qu’il n’y arrive pas (NDC : faut dire que le résultat est plutôt moche à voir). A dans 5 ans et surtout ne change rien (enfin si, arrête de boire et chante un peu).
© Ultra Boys 90 - www.ub90.com - Reproduction même partielle interdite